Paris, le 7 fevrier 2011
La Peintre.
Posé devant le spectre encore blanc, mis à nue
Cherche mentalement, l’inspiration perdu
Là où saigne en secret l’aurore virginale
guérie lorsque la nuit rafraichit par son vole.
Il epuise un essaim d’inspirations gàchées
Sa palétte est tachée,
Les couleurs animées,
Le spectre disparait,
de’guise d’un plumage,
La Peintre, l’albatros,
montre son vrai visage.
A forse d’étinselles,
audacieuses muses,
les doigts libérent un feu
de la peinture à l’eau:
Il laisse dans un cri
s’échapper le tableau
par le souffle de l’art et
des larme rieuses.
Il esquisse son oeuvre
au rythme du printemps
à la gloire des chènes,
pour l’honneur de ses roses
et quitte enfin ses chaines
qui la séve explose.
lain déjà, seul , heureuse,
sans le rides du temps.